Parking de la Baie, Boulevard Maritime à Sallenelles.

Rentrer dans l’estuaire en prenant le chemin. Après 300 m,
parvenir à un gros rocher.

Continuer le long de l’estuaire. Au hangar, tourner à gauche
et arriver à une intersection.

ATTENTION Par marée haute, continuer tout droit

Tourner à gauche pour contourner le Gros-Banc. Avant les rochers et la base nautique, quitter la baie à droite et gagner une fourche.

> Variante évitant Franceville (boucle de 13.5 km) : aller à
droite, suivre la route à droite puis les contre-allées de la
D 514 à gauche.

Bifurquer à gauche, couper la route et suivre la véloroute
presqu’en face. A la base de kitesurf, virer à gauche
puis à droite au poste de secours. Continuer vers la cale.

Quitter la digue à droite et traverser le parking. Prendre
l’avenue Houdard en face, l’avenue du Havre (troisième) à
droite, l’avenue de Falaise à gauche, l’avenue de Bayeux à
droite, le boulevard Kennedy à gauche et la voie en face.
Franchir la D 514 au passage piéton et tourner à droite.

Prendre l’avenue de la Hogue-du-Moulin à gauche et le chemin du Buisson à droite. Au carrefour, emprunter le
chemin à droite sur 100 m.

A la fourche, rester à droite (vues sur Ouistreham). Prendre la route en face sur 20 m, le sentier à gauche puis le chemin à droite.

Prendre la route à gauche, le chemin à droite, la D 37b à
gauche, la rue Oger à droite et, place du Colonel-Dawson,
le chemin à droite . Couper la D 514, puis tourner à gauche, à droite, à gauche et à droite pour retrouver l’estuaire.

Longer l’Orne à droite. A la pointe de la Roque, virer à
droite, puis rejoindre à droite le parking.

Longtemps surnommé «Bécasse de mer», son nom actuel lui a été attribué en raison de son cri (cour-li-cour-li). Un grand limicole au bec remarquable qui fréquente les vasières, les prés-salés et les prairies humides voisines ainsi qu’une zone «reposoir» au centre de la réserve ornithologique du Gros Banc.

Avec une silhouette élancée, tout de blanc vêtu, cet échassier muni de bottines jaunes pratique une technique de pêche «dansante». L’Aigrette garzette évolue dans des milieux identiques au Héron cendré en faisant les «cent pas» dans les mares peu profondes des marais et sur les vasières ou plages à marée basse. Le cri de cet oiseau n’a rien à voir avec son apparente élégance.

Dès le printemps, ce passereau discret se poste souvent en sentinelle à découvert sur les roseaux et les plus hautes tiges du présalé, façon de marquer son territoire. En plumage estival, le mâle présente une tête noire soulignée d’une moustache et d’un collier blancs. Il est aussi repérable par ses sifflements plaintifs.